« On parle à une femme, on lui dit des phrases en sachant bien qu'elle ne comprend pas, comme on parle à un chien ou à un chat. »
« Toutes nos phrases sont dictées par les nécessités et les illusions de notre situation concrète. »
« Il y a des phrases qui ne peuvent s'écrire qu'à la main. »
« Les phrases définitives sont quelquefois celles sur lesquelles on revient le plus vite. »
« Le technique qui consiste à isoler du contexte de l'époque des phrases prononcées il y a quinze ou vingt ans n'est pas honnête. »
« Les femmes sont des fillettes toute leur vie. Une caresse les console. Un petit oubli les brise. »
« C'est à la culotte de ses filles qu'on juge un pays. »
« Quand vous vantez à une mère la beauté d'une de ses filles, elle pense que c'est la plus laide qui est la plus jolie. »
« Si un jeune homme veut se distinguer dans son art, il faut qu'il tienne les jeunes filles hors de son cœur. »
« Certains maris admirent davantage leur femme à mesure qu'ils sont plus trompés. A côté des cocus honteux, il y a les cocus émerveillés. »
« Cajoler les mères pour obtenir les filles. »
« Le goût que les femmes ressentiront pour l'ignorance des garçons, les hommes ne sont pas sans l'éprouver pour l'innocence des filles. »
« Si les femmes nous trompent, ce n'est pas toujours pour nous faire cocus. »
« Les braves filles vont au ciel, les autres un peu partout. »