« Nous avons si peu l'habitude de la bonté que nous la confondons, en général, avec l'idiotie. »
« Nous abordons le XXIème siècle avec des pouvoirs de démiurges et des instincts de primates. »
« Ce que nous demandons au cinéma, c'est ce que l'amour et la vie nous refusent, c'est le mystère, c'est le miracle. »
« Nous sommes un peu comme des éponges qui aspirons la vie sans le savoir et qui la rendons ensuite, transformée, sans connaître le travail d'alchimie qui s'est produit en nous. »
« Notre société dite de consommation est le plus grand dépressif qui soit. Robotisé, nous ne nous en rendons pas toujours compte. Nous n'en avons pas le temps. »
« Il y a des présences qui finissent par être plus douloureuses que certains abandons... »
« Ne regardons pas les choses qui se voient, mais celles qui ne se voient pas. Les choses visibles, en effet, n'ont qu'un temps, les invisibles sont éternelles. »
« Nous nous rendons pitoyables ou nous nous rendons forts. La quantité de travail à fournir est la même. »
« Ah ! Gardons le plus longtemps possible la pitié, c'est le plus bel assaisonnement de la vie pour nous autres milliardaires. »
« Gardons-nous de l'ironie en jugeant. De toutes les dispositions de l'esprit, l'ironie est la moins intelligente. »
« En vieillissant, nous perdons le sens des vérités fondamentales. »
« En nous efforçant d'atteindre l'inaccessible, nous rendons impossible ce qui serait réalisable. »
« L'envie c'est la douleur de voir autrui posséder ce que nous désirons ; la jalousie, de le voir posséder ce que nous possédons. »
« Le bonheur est un grand puzzle dont nous possédons déjà toutes les pièces... »