« Le suffrage universel est le gouvernement d'une maison par sa nursery. »
« J'adore ma belle-mère. Je l'aime tellement que je l'emmène partout avec moi. Mais elle retrouve toujours la maison... »
« Pour faire une pièce amusante, le grand secret est d'être paresseux. Alors au lieu de faire des phrases, on fait des mots. »
« La belle-mère et la bru dans la même maison sont comme deux chats dans un sac. »
« Dans la maison du forgeron la broche est en bois. »
« On parle à une femme, on lui dit des phrases en sachant bien qu'elle ne comprend pas, comme on parle à un chien ou à un chat. »
« Toutes nos phrases sont dictées par les nécessités et les illusions de notre situation concrète. »
« Il vaudrait mieux demeurer dans un coin sur le haut de la maison, que d'habiter avec une femme querelleuse dans une maison commune. »
« Le roman, c'est la clef des chambres interdites de notre maison. »
« Si vous faites attention, non à ce que vous pensez mais à la forme de votre pensée, vous vous apercevez que vous faites rarement des phrases complètes. Il y a des morceaux de rêves, un fantasme, un souvenir, des chansons. On a des scies dans la tête. »
« Il y a des phrases qui ne peuvent s'écrire qu'à la main. »
« Je suis pour le partage des tâches ménagères. A la maison, par exemple, c'est moi qui passe l'aspirateur... à ma femme. »
« Les phrases définitives sont quelquefois celles sur lesquelles on revient le plus vite. »
« C'est seulement à l'instant de les quitter que l'on mesure son attachement à un lieu, une maison, ou à sa famille. »