« Le diable, voyez-vous, c'est l'ami qui ne reste jamais jusqu'au bout. »
« Une lettre écrite en français, sans fautes, surprend aujourd'hui comme une chose d'autrefois. »
« Les bistrots sont les confessionnaux du diable. »
« Les hommes recouvrent leur diable du plus bel ange qu'ils peuvent trouver. »
« Le diable est pur parce qu'il ne peut faire que le mal. »
« La parole écrite doit être l'incarnation naturellement nécessaire d'une pensée et non la livrée mondaine d'une opinion. »
« Le diable est optimiste s'il pense pouvoir rendre les hommes pires qu'ils ne sont. »
« Le but de la société ne saurait être seulement la production des richesses. Ce but est la plus grande diffusion possible de l'aisance, de bien-être et de la morale parmi les hommes. »
« On se demande, si en matière de bonté, le Diable n'est pas plus généreux que le bon Dieu. »
« La vie, il est vrai, est un combat qui a ses défaites, mais, que diable ! On ne perd pas toutes les batailles. »
« Entre Dieu et le Diable, autant choisir le haut du pavé, encore que, à ce qu'on dit, la compagnie soit plus distrayante en bas. »
« Un livre, c'est aussi une présence intime, cette chose écrite par un autre et qui sublime l'insignifiance de vos jours. »
« Si le monde entier est une scène et si nous ne sommes que les comédiens, à quand, diable, l'entracte ? »
« Mais il ne faut jamais penser au bonheur ; cela attire le diable, car c'est lui qui a inventé cette idée-là pour faire enrager le genre humain. »