« Le clonage véritable n'est pas dans les éprouvettes mais sur nos murs, dans nos magasins et sur nos journaux ! »
« Compter, toujours compter, les heures, les minutes, c'est ce qui nous perd. »
« Qui a le pouvoir de changer le cours des chemins invisibles ? On ne peut que suivre celui qui cherchent nos pas. »
« L'ami est d'abord celui dont on se raconte qu'il est votre ami. »
« Pour contraindre les prostituées, on a toujours utilisé la violence la plus barbare. Mais pour convaincre l'opinion et les parlements, on utilise le langage. »
« La révolution n'a jamais amené que des régimes totalitaires plus durs que ceux qu'elle cherchait à renverser. »
« La solution recherchée, on la découvre souvent tout près de soi, alors pourquoi chercher l'incertain, l'impossible. Les abus conduisent-ils toujours à l'abîme ? »
« C'est une règle éternelle de morale et de politique qu'il ne faut jamais pousser son ennemi jusqu'au désespoir. »
« Malheur à celui qui ne peut être seul un jour de sa vie sans éprouver le tourment de l'ennui, et qui préfère, s'il le faut, converser avec des sots plutôt qu'avec lui-même ! »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« Les autres nous fascinent parce qu'ils ont l'air plus vrais. »
« Folie : Kidnapper un mannequin et la gaver de crèmes glacées et de beignets jusqu'à l'explosion finale ! »
« Ce ne sont point les hommes qui mènent la révolution, c'est la révolution qui emploie les hommes. »
« Le plus grand ridicule pour une femme, c'est d'être un homme. »