« Quand on est mal parti, il faut essayer de continuer. »
« Dès que nous sommes en mesure de comprendre une théorie, une autre vient prendre sa place. »
« Les gens ne croient plus à la mort. Ils croient à l'usure. »
« Quand on se tue, c'est pour infliger sa mort aux autres. Il est très rare de voir des suicides élégants. »
« Sur ce sentiment inconnu, dont l'ennui, la douceur m'obsèdent, j'hésite à apposer le nom, le beau nom grave de tristesse. »
« On ne se fatigue pas de quelqu'un, vous savez, en fait, on se fatigue d'aimer. D'éprouver de l'amour. On veut bien avoir froid si le chauffage saute, mais on ne veut plus avoir mal si le cœur en fait autant. Cela s'appelle l'expérience. »
« La science est une chose trop importante pour être laissée entre les mains des seuls savants. »
« L'attendrissement est un sentiment agréable et entraînant comme la musique militaire. »
« Nous sommes peu à penser trop, trop à penser peu. »
« Les mille clairons du désir, les mille tam-tams du sang résonnèrent dans mes veines, et les mille violons du plaisir attaquèrent leur valse pour nous. »
« Au théâtre il y a des règles très précises d'unité, on peut donc mettre en scène des gens exceptionnels, des fous. L'excès des contraintes et l'excès de liberté font que la pièce s'équilibre d'elle-même. »
« J'ai trop le désir qu'on respecte ma liberté pour ne pas respecter celle des autres. »
« Je n'ai jamais aimé l'idée de la Terre comme marchepied de Dieu. »
« ... Ce qui compte, ce n'est pas ce que fait quelqu'un, c'est quelqu'un. Sa présence. »