« Je m'ennuie à mourir. L'ennui, c'est que je n'en meurs pas. »
« Le patriotisme, c'est bon pour les Africains et les Asiatiques. Chez les Russes, c'est déjà suspect ; en France, ça passe pour du gâtisme : les esprits avancés doivent avoir le patriotisme des autres. »
« Je vis, je meurs: je me brule et me noie, - J'ai chaud extrême en endurant froidure; - La vie m'est et trop molle et trop dure, - J'ai grands ennuis entremélés de joie. »
« Si tu n'avances que les jours de soleil, tu n'atteindras jamais ton but. »
« Les liens du cœur sont les plus importants de la vie. Pas de liens, tu meurs... Ou tu deviens une machine inhumaine. »
« Au banquet de la vie, infortuné convive, - J'apparus un jour, et je meurs: - Je meurs, et sur ma tombe, où lentement j'arrive - Nul ne viendra verser des pleurs. »
« Et tant que tu n'auras pas compris ce "meurs et deviens", tu ne seras qu'un hôte obscur sur la terre ténébreuse. »
« Dès ma première enfance, une flèche de la douleur s'est plantée dans mon cœur. Tant qu'elle y reste, je suis ironique - si on l'arrache, je meurs. »
« Souffre, meurs ou guéris ; mais surtout vis jusqu'à ta dernière heure. »
« Je vis sans vivre en moi-même, - avec l'espoir d'une vie si haute - que je meurs de ne point mourir. »
« Nous avons contre les femmes laides qui nous font des avances une colère faite du regret des jolies que nous n'avons pas eues. »
« Vivre les malheurs d'avances, c'est les subir deux fois. »
« Aux alentours de la soixantaine, deux seules vraies questions se posent: - 1. Je meurs quand? - 2. De quoi? - Tout le reste est diversion. »
« Je meurs si je vous perds, mais je meurs si j'attends. »