« Pour mon goût, voyager c'est faire à la fois un mètre ou deux, s'arrêter et regarder de nouveau un nouvel aspect des mêmes choses. »
« J'ai un profond respect des dates anniversairesCes portes que le Temps dispose autour de nousPour ouvrir un instant nos cœurs à ses mystèresEt permettre au passé de voyager vers nous. »
« L'homme n'a pas besoin de voyager pour s'agrandir ; il porte avec lui l'immensité. »
« Voyager, être à l'étranger, très loin de chez soi, c'est comme assister à un film. Ça se fait en silence. »
« Voyager est un travail qu'on fait tout seul. »
« J'ai étudié, en dehors de tout système et sans parti pris, l'art des anciens et l'art des modernes et puisé dans l'entière connaissance de la tradition le sentiment raisonné et indépendant de ma propre individualité. »
« Le charme de voyager, c'est d'effleurer d'innombrables et riches décors et de savoir que chacun pourrait être le nôtre et de passer outre, en grand seigneur. »
« Amants, heureux amants, voulez-vous voyager? - Que ce soit aux rives prochaines. - Soyez-vous l'un à l'autre un monde toujours beau, - Toujours divers, toujours nouveau; - Tenez-vous lieu de tout, comptez pour rien le reste. »
« Quand on est bien dans sa peau, voyager, c'est être ailleurs, ce n'est plus être loin. »
« Il faut avoir beaucoup étudié pour savoir peu. »
« On devrait apprendre la patience dans un pays étranger, car c'est là la vraie mesure du voyage. Si l'on ne souffre pas de la frustration de ses habitudes, comment peut-on être certain que l'on est vraiment en train de voyager ? »
« Un physicien moderne étudie la physique quantique les lundis, mercredis et vendredis et médite sur la théorie de la relativité gravitationnelle les mardis, jeudis et samedis. Le dimanche, il prie... Pour que quelqu'un trouve la corrélation entre les deux. »
« Plus on étudie, plus on sait. Plus on sait, plus on oublie. Plus on oublie, moins on sait. Moins on sait, moins on oublie. Moins on oublie, plus on sait. Alors, à quoi bon étudier ? »
« Les biographies se terminent généralement par la mort du sujet étudié, conclusion naturelle dont ne bénéficient pas les autobiographies. »