« Quand on peut se regarder souffrir et raconter ensuite ce qu'on a vu, c'est qu'on est né pour la littérature. »
« C'est un poids bien lourd pour un seul cœur de souffrir pour deux. »
« J'espère qu'un jour on jugera de ce que je fus par ce que j'ai su souffrir. »
« L'avantage de l'innocence, c'est que ça permet aux autres de commettre des erreurs sans faire souffrir. »
« Souffrir est une faiblesse, lorsqu'on peut s'en empêcher et faire quelque chose de mieux. »
« Devoir ! Ah, je ne puis souffrir ce vilain mot, cet odieux mot ! Il est si pointu, si aigre, si froid. Devoir, devoir, devoir ! On dirait des coups d'épingle. »
« Les malheurs, on peut les supporter; ils viennent de l'extérieur, ce sont des accidents. Mais souffrir de ses propres fautes, voilà qui est particulièrement amer ! »
« La manière la plus profonde de sentir quelque chose est d'en souffrir. »
« Le mal qui le plus fait souffrir est celui qu'on ne voit pas. »
« L'homme doit s'applaudir d'être frivole ; s'il ne l'était pas, il sécherait de douleur en pensant qu'il est né pour un jour, entre deux éternités, et pour souffrir onze heures au moins sur douze. »
« J'attends que la sexualité se démocratise afin que chacun puisse révéler sa vraie nature sans en souffrir socialement. »
« Les années viennent à bout de tout. Avec le temps et l'âge, tout finit par passer. Il faut juste accepter de souffrir. »
« Comment souffrir que la passion soit mise au même rang que la raison ? »
« Nous avons tous la prétention de souffrir beaucoup plus que les autres. »