« Je me souviens de mon instant magique, de ce moment où un «oui» ou un «non» peut changer toute notre existence. »
« Si tu deviens homme d'Etat, n'oublie pas que le grand secret de la politique est dans ces deux mots : savoir attendre. Si tu es ministre, souviens-toi qu'on se tire de tout avec ces deux mots : savoir agir. »
« Souviens-toi de cuver ton encre. »
« Souviens-toi que le livre sacré n'est exalté par-dessus tous les livres que parce qu'il a subi lui-même l'épreuve du temps. »
« Souviens-toi de la fragilité des choses humaines. »
« - Ah! Jésus, souviens-toi du Jardin des Olives! - Dans ta simplicité tu priais à genoux - Celui qui dans son ciel riait au bruit des clous. »
« Souviens-toi de te méfier. »
« L'esprit, souviens-t'en bien, est la mort du génie. »
« Puis une dame, à sa haute fenêtre, - Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens, - Que, dans une autre existence peut-être, - J'ai déjà vue, et dont je me souviens! »
« Souviens-toi que la douleur élève les âmes vraiment grandes et que ce n'est que le vulgaire qu'elle rend méchant. »
« Mens, mais souviens-toi. »
« Je ne me souviens pas d'avoir jamais été fatigué par le travail. En revanche l'oisiveté m'épuise complètement. »
« Dusses-tu vivre trois fois mille ans et même autant de fois dix mille, souviens-toi toujours que personne ne perd d'autre existence que celle qu'il vit et qu'on ne vit que celle qu'on perd. »
« Ne sois pas déçu en surestimant le bonheur dans le mariage. Souviens-toi des rossignols qui chantent seulement dans les mois du printemps, mais sont généralement silencieux lorsqu'ils ont pondu. »