« On est toujours plus vieux que sa femme, surtout lorsqu'on a épousé une femme plus âgée que soi. »
« Portez votre culture, comme votre montre, avec discrétion, et gardez-vous de la tirez de votre gousset et de la faire tinter pour le seul plaisir de montrer que vous n'en êtes pas dépourvu. »
« La vie de deux époux qui s'aiment, c'est une perte de sang-froid perpétuel. »
« Une fois pris dans l'événement, les hommes ne s'en effraient plus. Seul l'inconnu épouvante les hommes. »
« A vingt ans, une femme ne veut épouser que l'homme avec lequel elle pense être heureuse ; à trente ans, elle pense être heureuse avec n'importe quel homme qui voudrait l'épouser. »
« La mort est belle, elle est notre amie ; néanmoins, nous ne la reconnaissons pas, parce qu'elle se présente à nous masquée et que son masque nous épouvante. »
« L'homme est souvent décevant, mais parfois époustouflant. »
« Les amoureux rêvent, les époux sont réveillés. »
« L'époux est toujours le mâle nécessaire. »
« Une femme qui n'a jamais vu son mari pêcher à la ligne ne sait pas quel homme patient elle a épousé. »
« Le propre d'une épouse avisée est de démontrer, la vie durant, à son mari, qu'il est trop bête pour elle et trop intelligent pour son salaire. »
« Ce qui est grave dans un ménage, c'est que l'un des deux époux aime et l'autre n'aime pas. Mais s'ils ne s'aiment ni l'un, ni l'autre, ils peuvent être heureux. »
« Quand on a vingt ans de plus qu'une femme, c'est elle qui vous épouse. »
« La danse, n'est-elle pas la marche dans son apothéose ; marche noble, dépouillée d'un but utilitaire, et libre comme un jeu d'enfant ? »