« Religion à part, le bonheur est de s'ignorer et d'arriver à la mort sans avoir senti la vie. »
« Il est moins facile de régler le cœur que de le troubler. »
« Des faveurs trop facilement accordées sont peu propres à nourrir longtemps l'amour : il faut mêler à ses douces joies quelques refus qui l'irritent. »
« Il y a toujours deux chances pour ne pas retrouver l'ami que l'on quitte : notre mort ou la sienne. »
« La pensée agit sur le corps d'une manière inexplicable ; l'homme est peut-être la pensée du grand corps de l'univers. »
« Je reprends des forces dans le sein de ma mère. »
« On s'irrite moins en fonction de l'offense reçue qu'en raison de l'idée qu'on s'est formée de soi. »
« Sous le doux miel se cachent de cruels poisons. »
« C'est la providence qui nous dirige, lorsqu'elle nous destine à jouer un rôle sur la scène du monde. »
« Les hommes trompent souvent ; les femmes peu souvent, et, en cherchant bien, il n'y a guère de perfidies à leur reprocher. »
« Plus on boit, plus on a soif. »
« Lorsque les forces et l'âge te le permettent, supporte les peines. »
« Il est des degrés entre les pauvres comme entre les riches. »
« Le grand tort des hommes, dans leur songe de bonheur, est d'oublier cette infirmité de la mort attachée à leur nature. »