« La violence, c'est un manque de vocabulaire. »
« Voyager est un travail qu'on fait tout seul. »
« La rumeur publique est plus forte que toutes les puissances de ce monde. »
« Un mur où on a mis la main soi-même nous en apprend plus long sur la liberté de l'homme que tous les philosophes. »
« Les notaires c'est comme les avocats, moins t'en vois, plus t'as d'quoi. »
« Novembre est un beau mois. Mais il faut aimer le gris. Et l'oeil en saisir la lumière. »
« Les chemins qui vont droit devant soi s'escaladent. »
« Le matin, c'est la plus belle image du monde... On devrait l'encadrer ! »
« Les chemins qui vont droit devant s'escaladent. »
« C'est de la source d'un bonheur qu'il faut toujours en attendre la mort. »
« L'enfance. L'âge de la vie où tout semble possible, où on imagine qu'il suffira de vouloir changer son destin. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« A vouloir écarter le pire, on chasse aussi le meilleur. C'est aussi évident qu'à trop craindre la mort on oublie de vivre et qu'à la fin on meurt quand même. »
« C'est l'inconnu qui m'attire. Quand je vois un écheveau bien enchevêtré, je me dis qu'il serait bien de trouver un fil conducteur. »