« Le cul du berger sentira toujours le thym. »
« La solution de l'oedipe est que les parents aiment l'enfant ensemble, et non pas séparément, et si possible s'aiment entre eux. »
« Enfermé dans la souffrance, isolé dans le plaisir, solitaire dans la mort, l'homme est condamné, par sa condition même, à ne jamais satisfaire un désir de communication auquel il ne saurait renoncer. »
« Demander la Légion d'honneur au gouvernement, c'est une politesse à lui faire. »
« L'artiste s'adresse à la sensibilité, non à l'intelligence. »
« Le travail qualifié implique en quelque sorte un élément de capital en ce que la formation et l'éducation exigent des ressources. »
« Le chemin qui mène à la sagesse et aux joies de l'esprit est un parcours dangereux, semé d'embûches. Mais quelle récompense pour celui qui s'acharne et atteint la vérité ! »
« Qu'il choisisse l'imaginaire ou que l'imaginaire le choisisse, c'est toujours contre le réel que l'écrivain travaille et de façon à l'oublier. »
« Périsse l'Univers, pourvu que je me venge! »
« Il y a beaucoup de gens dont la facilité de parler ne vient que de l'impuissance de se taire. »
« Quelquefois l'échec est nécessaire à l'artiste. Cela lui rappelle que l'échec n'est pas un désastre définitif. Et cela le libère de la tapageuse contrainte du perfectionnisme. »
« C'est accorder un trop grand crédit à la nature humaine que de laisser à l'individu le soin de prendre en considération l'intérêt de la communauté. »
« Et puis mourir n'est rien, c'est achever de naître ! »
« Le vent qui éteint l'allumette déchaîne le brasier. »