Alfred Jarry, né à Laval (Mayenne) le 8 septembre 1873 et mort à Paris le 1er novembre 1907, est un poète, romancier et dramaturge français. Il fut aussi dessinateur et graveur.
« Les femmes mentent par le chemin des écoliers. »
« L'indiscipline aveugle et de tous les instants fait la force principale des hommes libres. »
« L'eau, liquide si impur, qu'une seule goutte suffit pour troubler l'absinthe. »
« Nous allons prendre conseil de notre conscience. Elle est là, dans cette valise, tout couverte de toiles d'araignée, On voit bien qu'elle ne nous sert pas souvent. »
« Dieu est le point tangent de zéro et de l'infini. »
« Je ne comprends pas qu'on laisse entrer les spectateurs des six premiers rangs avec des instruments de musique. »
« L'oeuvre est plus complète quand on n'en retranche point tout le faible et le mauvais. »
« Nous allons prendre conseil de notre conscience. Elle est là, dans cette valise, toute couverte de toiles d'araignée. On voit bien qu'elle ne nous sert pas souvent. »
« Les accidents de métro, chemins de fer, tramways, etc..., ont ceci de bon, comme les guerres, qu'ils éclaircissent le trop-plein misérable de la population. »
« L'homme et la femme croient se choisir... Comme si la terre avait la prétention de faire exprès de tourner ! »
« La plus noble conquête du cheval, c'est la femme. »
« Les vieillards, il faudrait les tuer jeunes. »
« Dieu est le plus court chemin du zéro à l'infini, dans un sens ou dans l'autre. »
« On est toujours, pour les filles, un bel animal, quand on montre un peu de chair nue. »