« Pleurer sa mère, c'est pleurer son enfance. L'homme veut son enfance, veut la ravoir, et s'il aime davantage sa mère à mesure qu'il avance en âge, c'est parce que sa mère, c'est son enfance. J'ai été un enfant, je ne le suis plus et je n'en reviens pas. »
« Si tous les cocus et leurs femmes qui les font se tenoyent tous par la main et qu'il s'en pust faire un cerne, je croy qu'il seroit assez bastant pour entourer et circuire la moitié de la terre. »
« Les tests d'intelligence mesurent-ils réellement l'intelligence ? Ou bien l'aptitude à passer des tests ? »
« La politique est l'art de faire croire qu'il y a des problèmes mécaniques quand plus personne ne sait conduire. »
« ... Le sommeil a les avantages de la mort sans son petit inconvénient. »
« Pleurer sa mère, c'est pleurer son enfance. J'ai été un enfant, je ne le suis plus et je n'en reviens pas. »
« Le bien de la fortune est un bien périssable ; quand on bâtit sur elle, on bâtit sur le sable. »
« Mais j'étais un fils. Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles. »
« L'homme orgueilleux seul croit qu'il vivra toujours. »
« Les fils ne savent pas que leurs mères sont mortelles. »
« Dès la sortie de l'enfant, le cordon ne sert plus à rien. »
« L'amour du prochain réclame des poètes qui savent donner leur unique manteau. »
« Choisir de donner ou non la vie est une nouvelle forme de la liberté. »
« Charmées par mon sourire, ce petit morceau déjà visible de mon squelette. »