« Le cocu, d'ordinaire, on le choie, on le gâte. »
« Les vrais mobiles de nos actes ne sont-ils pas souvent dissimulés derrière une façade d'autant plus facile à ériger qu'elle répond à une nécessité instinctive ? »
« L'amour maternel est le plus près de la miséricorde divine. »
« Nos maladies nous ressemblent. »
« Nous vivons dans un monde où des activités de plus en plus nombreuses et pressantes concurrencent toujours plus durement celle qui consiste à se préoccuper de la poésie, que ce soit dans les livres ou dans le rapport à soi. »
« Il te faudra franchir la mort pour que tu vives. »
« C'est effrayant de vivre avec des gens qui vous connaissent. Ils vous empêchent de changer en ne s'apercevant pas que vous êtes un autre. »
« Le bonheur et le malheur sont toujours relatifs à quelque situation antécédente dont on conserve le souvenir. »
« Fils du savoir, le péché est le père du savoir. »
« Amis ou ennemis, il est toujours bon de bien connaître ceux qu'on aime, et meilleur encore de mieux connaître ceux qu'on aime moins. »
« Dans l'eau de la claire fontaine - Elle se baignait toute nue. - Une saute de vent soudaine - Jeta ses habits dans les nues. »
« Les braves gens n'aiment pas queL'on suive une autre route qu'eux. »
« C'est par l'attention que l'esprit parvient à se former des notions vraies des choses. »
« Les enfants sont des entraves quand ils sont jeunes. Plus tard, ils nous quittent. »