« Ah! ma pauvre nourrice, vous qui avez eu tant de soin de mon enfance, qui m'avez mieux aimé que vos propres enfants, vous avec qui j'ai passé vingt-cinq années les plus douces de ma vie. »
« La prière du professeur de ZEP : "Donne-moi aujourd'hui le courage d'y aller. Pardonne à ceux qui vont m'offenser comme je pardonnerai au ministère qui m'a laissée tomber." »
« Le cheveu rare, ça donne l'air intellectuel, à défaut d'être intelligent. »
« Sur les billets d'euros, d'un côté il y a une porte, de l'autre, un pont. Ca veut dire : si tu passes pas la porte, t'as plus qu'à te jeter du pont. »
« Mon ordinateur, j'essaie de faire tout ce qu'il me dit mais lui ne fait rien de ce que je veux. »
« Sur internet, on peut écouter la radio tout en payant le téléphone. »
« L'euro, c'est ultrasimple, c'est comme quand on voyage à l'étranger, en trois jours, on s'habitue à compter dans la monnaie locale. Sauf que là, on reviendra jamais de vacances. »
« PC ça veut dire... Petit Con ! »
« L'euro, on ne vous demande pas de comprendre, on vous demande de payer. »
« Là où tant d'hommes ont échoué, une femme peut réussir. »
« Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion, mais jamais à celui qui la manque. »
« La génération formée à l'école des notions scientifiques va à la rencontre de la plus forte déception qui soit : celle de la vanité du savoir. »
« C'est la moitié de l'amour, cette moitié qu'est l'amitié. »
« Tout ce qui est excessif est insignifiant. »