« Le retour à la bestialité est possible dans une société comme la nôtre. En raison de la désorganisation des mentalités, des crises d'hystéries généralisées, tout cela aggravé par les crises économiques. »
« Dans les grandes crises, le cœur se brise ou se bronze. »
« La paix universelle se réalisera un jour non parce que les hommes deviendront meilleurs mais parce qu'un nouvel ordre, une science nouvelle, de nouvelles nécessités économiques leur imposeront l'état pacifique. »
« Les places les plus chaudes en enfer sont réservées à ceux qui lors des grandes crises morales maintiennent leur neutralité. »
« La première panacée pour une nation mal dirigée est l'inflation monétaire, la seconde est la guerre. Les deux apportent prospérité temporaire et destruction indélébile. Les deux sont le refuge des opportunistes économiques et politiques. »
« Le développement de l'économie réelle n'a rien à voir avec la science économique. Bien qu'on les enseigne comme s'il s'agissait de mathématiques, les théories économiques n'ont jamais eu la moindre utilité pratique. »
« Dans les crises politiques, le plus difficile pour un honnête homme n'est pas de faire son devoir, mais de le connaître. »
« Nous avons l'impression que les forces économiques, les marchés financiers, les nouvelles technologies, transforment notre vie de tous les jours bien davantage que nos ministres ou nos parlementaires. »
« Les chefs d'entreprise doivent assumer des responsabilités sociales et pas seulement économiques et financières. »
« Partout où la liberté règne elle est incessamment attaquée et très souvent en péril. Tout Etat libre où les grandes crises n'ont pas été prévues est à chaque orage en danger de périr. »
« Il y a deux types de problèmes dans la vie : les problèmes politiques sont insolubles et les problèmes économiques sont incompréhensibles. »
« Dans ces grandes crises, le cœur se brise ou se bronze. »
« L'humain évolue au même rythme que les cycles économiques. Il monte en flèche pour se planter en masse par après. »
« La vie ressemble à la maladie en ce qu'elle procède par crises et usure progressive, comme elle comporte aussi ses améliorations et aggravations quotidiennes. Mais, à la différence des autres maladies, la vie est toujours mortelle. »