« Les phrases définitives sont quelquefois celles sur lesquelles on revient le plus vite. »
« Aimer, oui. Mais pas le genre d'amour-toujours avec cadenas autour du vagin et court-circuit dans le cerveau. »
« Si je soulève des haltères, je me muscle les biceps, mais si je pense que je les soulève, je me muscle le cerveau. »
« Quelques phrases ont la forme d'une chandelle. Elles en ont aussi le pouvoir éclairant. »
« Les femmes, me semble-t-il, aiment qu'on les capture dans un filet de phrases. »
« Le technique qui consiste à isoler du contexte de l'époque des phrases prononcées il y a quinze ou vingt ans n'est pas honnête. »
« La plus grave maladie du cerveau c'est de réfléchir. »
« La conscience, [...] Chose sombre que cet infini que tout homme porte en soi et auquel il mesure avec désespoir les volontés de son cerveau et les actions de sa vie ! »
« Dans la balance de la destinée, le muscle ne pèse jamais autant que le cerveau. »
« On prétend que l'ambition exclut l'amour. Les deux peuvent cohabiter, l'une se logeant au cerveau, l'autre au cœur. »
« Si l'on veut vivre d'une vie humaine extérieure et retentissante, il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau, et laisser fermées les autres. »
« Si jamais j'ai besoin d'une transplantation de cerveau, je choisirai un sportif, car je veux un cerveau qui n'a jamais servi. »
« L'ennui avec la télévision, c'est qu'on la regarde pour se changer les idées et qu'elle finit par nous laver le cerveau. »
« On ne mordra jamais assez dans son propre cerveau. »