« Il y a des bravoures opiniâtres et ignorées qui se défendent pied à pied dans l'ombre contre l'envahissement fatal des nécessités et des turpitudes. »
« Embrasser une femme qui fume, c'est comme lécher un cendrier ! »
« Quand un voleur vous embrasse, comptez vos dents. »
« Si un homme possède une épicerie ou une librairie et qu'il tombe malade, il peut prendre quelqu'un pour le remplacer. Si un acteur est malade, il cesse aussitôt de gagner de l'argent au moment où il en a le plus besoin. »
« Embrassons mon cousin le conseiller garde-note. »
« Il ne faut pas blesser une bête : on la caresse ou on la tue. »
« Ma secrétaire a démissionné. Elle m'a surpris en train d'embrasser ma femme. »
« La Mollesse, oppressée, - Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée, - Et, lasse de parler, succombant sous l'effort, - Soupire, étend les bras, ferme l'oeil et s'endort. »
« Dans une librairie, le temps ne passe pas. »
« Les lâches meurent plusieurs fois avant leur mort véritable ; les braves ne goûtent la mort qu'une seule fois. »
« Paris est la capitale mondiale du flirt cérébral : on se soucie énormément de ce qui se dit mais ce qu'on dit n'a aucune importance. »
« La vie c'est ce que tu vois : de la membrane, de la tripe, un trou sans fond qui exige d'être rempli. La vie est ce tuyau qui avale et qui reste vide. »
« On peut comparer le monde à un bloc de cristal aux facettes innombrables. Selon sa structure et sa position, chacun de nous voit certaines facettes. Tout ce qui peut nous passionner, c'est de découvrir un nouveau tranchant, un nouvel espace. »
« Les yeux de l'éveil sont innombrables mais l'éveil n'a qu'un oeil. »