« Nos deux cœurs seront deux vastes flambeaux, - Qui réfléchiront leurs doubles lumières - Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux. »
« Le bonheur suppose sans doute toujours quelque inquiétude, quelque passion, une pointe de douleur qui nous éveille à nous-même. »
« Ma seule certitude c'est d'être dans le doute »
« La mort, c'est la dernière étape de la douceur. La mort, c'est la douceur absolue. C'est le calme, le repos. C'est l'absence de mouvement et la paix. »
« En cette saison printanière de l'année, quand l'air est doux et plaisant, ce serait une injure à la nature et vraiment dommage de ne pas aller dehors voir sa magnificence et partager sa façon de relier le ciel et la terre. »
« L'amour, c'est parfois si intense, si fulgurant, presque douloureux, que nous ne pouvons le vivre que pendant quelques instants rares et privilégiés. Tenter de les prolonger, quelle erreur. »
« Le langage des yeux. Quel doux dialogue, quelle merveilleuse cascade d'idées, dites dans le silence. »
« La douleur morale est plus cuisante que la douleur physique ; l'ennui, la séparation, sont des maux capables de causer les pires ravages, même chez les personnes les plus plus fortes. »
« Le temps guérit les douleurs et les querelles parce qu'on change, on n'est plus la même personne. »
« La comédie critique, la tragédie exalte. C'est ce qui fait sans doute la supériorité de l'art tragique sur l'art comique. »
« Les postes importants sont dangereux pour des hommes moyennement doués ; quand on doit se dépasser soi-même, cela transforme le caractère. »
« La publicité ? Une invention hypocrite de l'homme ; un miroir aux alouettes pour manipuler, exploiter et asservir en douceur son prochain. »
« Le café doit être noir comme l'enfer, fort comme la mort et doux comme l'amour. »
« La seconde inégalité, appelée par quelques-uns évaction, est proportionnelle au sinus du double de cette même distance, moins l'anomalie moyenne de la lune. »