« Les favoris, les hommes en place mettent quelquefois de l'intérêt à s'attacher des hommes de mérite, mais ils en exigent un avilissement préliminaire qui repousse loin d'eux tous ceux qui ont quelque pudeur. »
« Un ministre, en faisant faire à ses maîtres des fautes et des sottises nuisibles au public, ne fait souvent que s'affermir dans sa place. »
« Il y a de la place au soleil pour tout le monde, surtout quand tout le monde veut rester à l'ombre. »
« Un homme qui n'est choisi que pour remplacer un mort n'est-il pas voué à la mort par l'exigence du rôle même ? »
« Il y a des lumières que l'on éteint en les plaçant sur le chandelier. »
« C'est une chose terrible qu'avec les femmes il n'y ait jamais moyen de placer un mot. »
« Pour identifier la main droite, il suffit de placer les deux mains à plat : la main droite est celle dont le pouce est à gauche. »
« Il est plus facile de déplacer un fleuve que de changer son caractère. »
« Une grande idée a besoin de sacrifices. »
« L'humoriste se place derrière sa victime. »
« Il y a deux sortes d'hommes. Ceux qui combattent leur père et ceux qui cherchent toute leur vie à le remplacer. »
« Les hommes ne sont pas des esclaves, ce n'est pas vrai, ils se flattent ; ce sont des domestiques volontaires qui aiment à changer de place et de maître. »
« On ne perd rien à être poli sauf sa place dans le métro. »
« La place pour les enfants ne manque pas, dans le malheur des grands. »