« Idéalement nous sommes ce que nous pensons. Dans la réalité, nous sommes ce que nous accomplissons. »
« Je crois que l'on apprend et que l'on progresse sans arrêt. Nous sommes sans cesse mis à l'épreuve. »
« Celui qui récompense plutôt le mal que le bien, est indigne de vivre tranquillement. »
« Quand une femme est la douceur et le trouble, l'amusement et la gravité, la nouveauté et la mémoire, le voyage et la demeure... Quel homme digne de ce nom refuse ce miracle et choisit de fuir en invoquant l'inconfort d'aimer ? »
« Il ne faut pas confondre amitié et besoin de confidences. »
« Tout jardin est, d'abord l'apprentissage du temps, du temps qu'il fait, la pluie, le vent, le soleil, et le temps qui passe, le cycle des saisons. »
« Rien, aucune créature au monde n'est plus ridicule, et déplaisante, qu'une fille amoureuse. »
« Le Bourgueil rend bavard mais ne facilite pas l'élocution. »
« La vie est la seule carrière qui m'intéresse. »
« Tentative de définition du paradis : seul endroit de la terre d'où l'on fuit au péril de sa vie. »
« Les citations sont les pilotis de l'écrivain fantôme : sans elles, il s'enfoncerait doucement dans le néant. »
« Que sait du désert celui qui ne regarde qu'un grain de sable ? »
« Réclamer le possible, tout le possible, c'est critiquer le monde tel qu'il est. »
« Le jardin, c'est de la philosophie rendue visible. »