« L'Etat se nomme toujours patrie, quand il prépare un assassinat. »
« Je ne réclame la mort que de coupables, et l'on me nomme bourreau. »
« La culture classique commence à partir d'un million de revenus. »
« Tu ne peux pas obliger la grâce à illuminer le monde, mais tu peux préparer l'atmosphère pour que la grâce - si elle vient - trouve en toi un miroir prêt à refléter sa lumière. »
« Un fils ne voit pas sa mère avec les yeux de tout le monde, il est même souvent le seul à voir sa beauté. »
« Nous ne devons pas tenter de sauver le monde, mais de subsister ; c'est la seule véritable aventure qui s'offre encore à nous, en cette heure tardive de l'histoire. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »
« Lorsqu'elle joue ou qu'on la caresse (la marmotte), elle a la voix ou le murmure d'un petit chien ou le ragoulement d'un chat. »