« Les mères de famille sont les seuls travailleurs qui n'ont jamais de vacances. »
« ... Blâmer et faire l'éloge sont des opérations sentimentales qui n'ont rien à voir avec la critique. »
« Il faut pourtant que la critique se mêle toujours à l'éloge, le serpent aux fleurs, l'épine aux roses et la vérole au cul. »
« A Honolulu, il y a tout ce qu'il faut : du sable pour les enfants, du soleil pour les épouses, des requins pour les belles-mères. »
« Aujourd'hui, à quinze ans les petites filles sont des femmes. Tout le monde le sait, sauf les mères ! »
« La vraie fête des mères, c'est l'anniversaire de leurs enfants. »
« O flots que vous savez de lugubres histoires! - Flots profonds redoutés des mères à genoux! - Vous vous les racontez en montant les marées, - Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées - Que vous avez le soir quand vous venez chez nous. »
« L'éloge ne corrige pas le visage où la beauté manque. »
« La fête des mères est un prétexte, car on fête toute l'année sa maman. »
« L'amour de notre langue s'identifie avec l'amour des mères qui nous l'apprennent ! »
« Le travail des mères, c'est de protéger les enfants de la noire humeur des pères. Et les pères? Leur travail est, je crois, de même nature: ils sont là pour garder les enfants de la trop vive folie des mères. »
« Il est honteux de faire son propre éloge. »
« Si la théorie de l'évolution est vraie, comment se fait-il que les mères de famille n'aient toujours que deux mains ? »
« D'un côté il y a les chiffres pairs, et de l'autre côté, les chiffres mères. »