« Les roses ne sont pas à plaindre... Au moins, elles ne savent pas, elles, qu'elles se faneront. »
« Une ville ne vaut pas plus qu'un jardin de roses. »
« Si les roses ont des épines, sous les épines se cachent les roses. »
« Que m'importent les tulipes et les roses, puisque par la pitié du Ciel, j'ai, pour moi seul, tout le jardin. »
« Il reste toujours un peu de parfum à la main qui donne des roses. »
« On ne bâtit rien avec des pétales de roses. »
« Nous donnons bien souvent de divers noms aux choses :Des épines pour moi, vous les nommez des roses. »
« Il y a des femmes qui sont comme le bâton enduit de confiture de roses : on ne sait pas par quel bout les prendre. »
« Le parfum de mille roses ne plaît qu'un instant ; mais la douleur que cause une seule de leurs épines dure longtemps après la piqûre. »
« Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées, - Où gît tout un fouillis de modes surannées, - Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher, - Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché. »
« Mieux vaut respirer que de cueillir les roses,Et les plus beaux jardins sont où l'on n'entre pas. »
« Désespoir, amour, gaieté. Qui a ces trois roses enfoncées dans le cœur a la jeunesse pour lui, en lui, avec lui. »
« Quand les roses fleurissaient, sortaient les filles - On voyait dans tous les jardins danser les jupons - Puis les roses se fanaient, rentraient les filles - Pour passer dans leurs doux écrins le temps des flocons. »
« Et ses yeux n'ont pas vu, présage de son sort, - Auprès d'elle, effeuillant sur l'eau sombre des roses, - Les deux Enfants divins, le Désir et la Mort. »