« Le sexe des garçons, il leur sert à tout. Ca sert à faire la guerre, président de la République, directeur, aviateur. Ca sert à penser, à tout commander ; à décréter ; à légiférer. Accessoirement, ça sert à faire des enfants et même à faire pipi. »
« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« Les choses les plus obscures ou qui vous semblent-elles, sont souvent les plus limpides, c'est une question d'éclairage. »
« C'est la main de l'homme... Et la main de l'homme est douce à la femme. »
« L'indépendance est une entreprise ruineuse. »
« Je fais des films pour réaliser mes rêves d'adolescent, pour me faire du bien et, si possible, faire du bien aux autres. »
« La musique de jazz, c'est une insouciance accélérée. »
« Un militant sans cœur est un être dangereux; un militant sans sexe, un malade. »
« On peut toujours interpréter ses rêves et ceux d'autrui ; dans ce domaine aux limites imprécises, une interprétation en vaut une autre, et la logique en est habituellement pour ses frais. »
« Les femmes sont magiques... Alors je suis devenu magicien. »
« Oui, l'amour fait mal : comme les grands oiseaux rapaces, il plane au-dessus de nous, il s'immobilise et nous menace. »
« Ce qui est révoltant dans la guerre, c'est qu'elle prive l'homme de son combat individuel. »
« Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes. »
« Je ne suis le porte-drapeau de personne... - Ecrire est une entreprise tellement solitaire... »