« Le printemps est la saison où les garçons commencent à comprendre ce que les filles ont su tout l'hiver. »
« On a aussi peu de liberté maintenant qu'il y a vingt ans : faire l'amour était alors interdit aux jeunes filles ; maintenant c'est presque devenu obligatoire. Les tabous sont les mêmes. »
« Comme les homards, les jeunes filles ont l'extérieur exquis. Comme les homards, elles rougissent quand on veut les rendre comestibles. »
« La maison familiale est une prison pour les jeunes filles et une maison de correction pour les femmes. »
« Haïr, c'est aimer, c'est sentir son âme chaude et généreuse, c'est vivre largement du mépris des choses honteuses et bêtes... »
« L'angoisse des départs sans main chaude dans la main. »
« Il n'y a pas de filles bien qui ont mal tourné, simplement des méchantes qui se sont trouvées. »
« Je sais à quoi ressemble une pomme qui grille et grésille dans l'âtre, un soir d'hiver et je sais le réconfort qu'apporte le fait de la manger toute chaude, avec un peu de sucre et un filet de crème... »
« Les filles sont les roses de la couronne de la vie. Les roses et les filles font resplendir le printemps. »
« Une fille, brave fille, deux filles, assez de filles, trois filles, avec la mère, quel tourment pour un père. »
« Il n'y a pas de justice :Le premier intellectuel venu exhibe l'intérieur de sa tête... On le fête.La plus jolie des filles nues montre très simplement son cul... On la hue. »
« Les hommes publics sont comme les filles publiques, incapables de prendre leur retraite à temps. »
« Aujourd'hui, à quinze ans les petites filles sont des femmes. Tout le monde le sait, sauf les mères ! »
« Filles, voyez l'épi de blé. Quand il est beau, il baisse la tête. »