« Un bonheur que rien n'a entamé succombe à la moindre atteinte ; mais quand on doit se battre contre les difficultés incessantes, on s'aguerrit dans l'épreuve, on résiste à n'importe quels maux, et même si l'on trébuche, on lutte encore à genoux. »
« Considérez le chien apprivoisé, implorant une caresse, un regard de son maître : n'est-ce pas l'image de l'homme à genoux devant son Dieu ? »
« La femme n'est victime d'aucune mystérieuse fatalité : il ne faut pas conclure que ses ovaires la condamnent à vivre éternellement à genoux. »
« Pourquoi Dieu a-t-il fait l'homme jardinier ? C'est parce qu'il savait qu'au jardin la moitié du travail se fait à genoux. »
« Soyez à leurs pieds. À leurs genoux... Mais jamais dans leurs mains. »
« Plutôt mourir debout que vivre à genoux. »
« O flots que vous savez de lugubres histoires! - Flots profonds redoutés des mères à genoux! - Vous vous les racontez en montant les marées, - Et c'est ce qui vous fait ces voix désespérées - Que vous avez le soir quand vous venez chez nous. »
« Le bonheur, c'est comme un chat, si vous essayez de le cajoler, il vous fuit, si vous ne vous occupez pas de lui, il vient se frotter contre vos jambes et saute sur vos genoux. »
« Mieux vaut manger un pain debout qu'un steak à genoux. »
« Montrer les cuisses, oui... Mais les genoux, jamais ! »
« Une secrétaire est une employée à qui il arrive de se dévouer tellement pour son patron qu'elle est souvent sur les genoux. »
« Pourquoi ce nom d'Académie Française ? C'est la question que tout le monde se pose sauf les académiciens français qui s'en foutent du moment qu'ils n'ont pas froid aux genoux... »
« Un père ? Eh bien, celui qui te prend sur ses genoux quand tu pleures, et qui s'assied près de toi le soir lorsque tu as peur de t'endormir, pour te raconter une histoire. »
« En vain, pour satisfaire à nos lâches envies, - Nous passons près des rois tout le temps de nos vies - A souffrir des mépris et ployer les genoux. »