« On pardonne toujours à la force. Mais la faiblesse n'a pas d'excuse, n'est pas charitable, parce qu'elle n'a rien à offrir. »
« Lorsqu'on envisage la vie dans toute sa gravité, les considérations de réussite sociale vous paraissent rapidement vaines. »
« Partir, c'est mourir un peu, mais rester, c'est crever doucement. »
« Il ne faut pas connaître trop de choses, on y perd son élan vital. »
« Faire l'amour n'est pas ne faire qu'un, ni même deux, mais faire cent mille. »
« Pourquoi l'amour ne permettrait-il que rarement la permanence des liens que crée l'amitié. »
« En observant on se sent plus grave et se sentant plus grave on se sent plus âgé. De là se croire plus sage, il n'y a qu'un pas que l'on franchit sans cesse. »
« L'amitié qui n'est pas discrète est dangereuse. »
« On ne se repose bien et on meurt content que là où l'on a vécu heureux. »
« Qu'il est pitoyable, l'être trop faible qui soudainement se fâche. Il ne sait plus, l'instant de colère passé, comment se comporter. »
« On n'est jamais si fortement tenté de croire aux dieux que lorsqu'on devient dieu soi-même. Mais celui qui fait croire en lui a tout à gagner et le dieu tout à perdre. »
« Une vie, deux ans ou trois mois, un amour peut durer tout cela. Mais lorsque tout est fini, il ne faut pas insister. »
« Amour peut moult, argent peut tout. »
« On ne parvient à la sérénité que lorsqu'on a banni l'espoir de sa vie. »