« Les cieux sont comme un livre où tout homme peut lire. »
« Pourquoi faut-il donc ériger des barrières face à l'explosion de nos sentiments ; pourquoi l'être aimé ne pourrait-il pas lire en nous comme dans un livre ouvert les pensées nobles et généreuses qui nous animent ? »
« Il y a dans l'aveu public des angoisses du cœur une vanité et une profanation gratuites. »
« Tout bonheur doit sans doute se payer ; sa conquête, du moins, exige toujours un combat. »
« En vieillissant, nous perdons le sens des vérités fondamentales. »
« Amour sacré de la Patrie, - Conduis, soutiens nos bras vengeurs. »
« Soit comme un loup blessé qui se tait pour mourir, et qui mord le couteau, de sa gueule qui saigne. »
« Lumière, où donc es-tu? Peut-être dans la mort. »
« Un certain romantisme sommeille au cœur de toute femme. »
« Il faut sans doute payer le prix de ses amours comme on paie celui de ses ambitions. »
« Cheveux au vent, comme le coq matinal, le rassembleur chante sa victoire sur le fainéantisme. »
« Les mains sont des symboles et parfois des révélations. »
« Toi, dont la vieille terre est avide, je t'aime, - Brûlante effusion du brave et du martyr, - Où l'âme se retrempe au moment de partir! »
« Les pieds sur le sable, la tête aux nues, voilà l'étirement maximal de l'homme rêveur. »