« Rends toujours, si tu peux, service pour service,Mais à qui ne fait rien, ne fais nul sacrifice. »
« L'homme de la rue attendait jadis du savant qu'il interprète l'univers et la vie humaine. Maintenant, il ne lui demande plus que de l'aider à vivre. »
« Tiens ferme et défends-toi comme un homme de cœur !Le danger le plus grand est celui de la peur. »
« Si Dieu, quand il forma l'homme, avait éprouvé que la femme fût mal, il ne l'eût point donnée à l'homme pour compagne. »
« Il est extrêmement difficile de transposer la pensée dans l'écriture, je crois que personne ne le fait, que personne ne l'a fait. »
« L'homme ne peut se dire libre si sa liberté s'appuie sur l'oppression d'autrui. »
« Que celui qui est bien assis ne soit pas pressé de se lever ! »
« Ma plume l'a tué. »
« Le danger le plus grand est celui de la peur. »
« J'ai étudié, en dehors de tout système et sans parti pris, l'art des anciens et l'art des modernes et puisé dans l'entière connaissance de la tradition le sentiment raisonné et indépendant de ma propre individualité. »
« Les faveurs ou le refus,Rien ne peut jamais vous plaire :Vous criez quand on résiste ;Vous riez quand on cède. »
« Même le savoir lasse, quand il est savoir par métier. »
« Dans l'univers des échecs le temps est inexorable... »
« Tant que l'indépendance n'est pas faite, elle reste à faire. »