« Les grands seigneurs et les beaux esprits, deux classes qui se recherchent mutuellement, veulent unir deux espèces d'hommes dont les uns font un peu plus de poussière et les autres un peu plus de bruit. »
« La société est composée de deux grandes classes: ceux qui ont plus de dîners que d'appétit et ceux qui ont plus d'appétit que de dîners. »
« Les révolutionnaires pensent abolir les classes : ils rétablissent une hiérarchie encore plus dure. »
« La faim justifie les classes moyennes. »
« Classer des milliers de livres et les transporter devrait constituer un exercice obligatoire pour tout postulant à l'écriture, ce qui l'inciterait sans doute à privilégier davantage la concision que la quantité. »
« Aujourd'hui, on peut dire "bite" et "enculé" même au cours d'un dîner mondain, mais on ne peut plus dire "prolétaire" ou "lutte des classes". »
« Entre hommes polis et sincéres, il n'y a pas de classes. »
« Ce n'est qu'en ne payant pas ses factures qu'on peut espérer vivre dans la mémoire des classes marchandes. »
« La douleur, comme la mort, ne fait pas de distinction de classes, de religions, d'âges, de conditions. »
« Dans les classes inférieures, la femme est non seulement supérieure à l'homme, mais encore elle le gouverne presque toujours. »
« Quelque intégrité que nous ayons, on peut toujours nous classer dans une catégorie de voleurs. »
« Je veux bien te permettre les idées les plus révolutionnaires, mais énonce-les clairement! Ce ne sont pas les idées qui déclassent un homme, mon garçon, c'est le langage! »
« Il y a actuellement dans ce pays-là dix-sept ou dix-huit ci-devant soi-disant jésuites, comme les classes du parlement les appellent. »
« Chez les femmes, il n'est point de classes. Elles ne sont quelque chose dans la société que par ceux qui les épousent ou qui les patronnent. »