« Marcher comme une feuille morte tombée de l'arbre que le vent emporte, sans savoir si c'est le vent qui vous porte ou si vous portez le vent... »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« Le beau geste, c'est celui qui est si absolument juste, si précis, si parfait, qu'on le croit facile, oubliant la somme de pratique, de connaissance et d'intuition dont il est le signe. »
« Les contraintes se guérissent par les contraires. »
« Dieu a créé trois ennemis à cause de nos péchés : la souris dans nos maisons, le renard dans la montagne et le curé dans notre village. »
« La complicité nivelle les différences. »
« Le malin vit de l'imbécile, et l'imbécile de son travail. »
« L'homme travaille une année pour s'amuser une journée. »
« Écrire consiste à rêver avec une intensité telle que nous parvenons à arracher au monde un morceau. »
« Qui vit d'illusions meurt de désillusion. »
« Qui épargne pour plus tard n'a pas confiance en Dieu. »
« Vécue, la souffrance n'en est pas pour autant reconnue. »
« La bru balaie ce que voit la belle-mère. »
« Marcher vraiment, c'est aller au rythme de la fleur qui s'ouvre. »