« La femme tout entière est modelée et préparée de loin pour cet auguste office de la maternité, qui est le but suprême de sa vie terrestre. »
« Pourquoi une maternité ne serait-elle pas mal venue? Pourquoi la naissance d'une mère par la venue de l'enfant ne serait-elle pas ratée elle aussi? »
« Les hommes ont superbement pratiqué cette séparation à laquelle ils tiennent tant, entre leur femme - devoir, maternité, angélisme, migraine et les femmes - plaisir, putains, enfer, mystère... »
« Développer une idée m'a toujours paru indécent, c'est pourquoi j'aime l'aphorisme. Développer une idée, c'est prendre le lecteur pour un imbécile: il ne comprendra que si on lui répète de mille manières ce qu'on veut lui faire entendre. »
« On ne peut dicter un aphorisme à une machine à écrire. Cela prendrait trop de temps. »
« L'aphorisme ne coïncide jamais avec la vérité : il est soit une demi-vérité, soit une vérité et demie. »
« Un aphorisme n'a pas besoin d'être vrai, mais il doit survoler la vérité. Il doit la dépasser d'un trait. »
« Que représente la paternité face à ce poids, cette certitude, qu'est la maternité ? »
« Maternité : on y voit le jour la nuit. »
« Un aphorisme est soit une demi-vérité soit une vérité et demie. »
« Cette humeur protectrice, cette adresse à soigner, cette maternité délicate dans le geste - apanage des femmes. »
« Au lieu d'instinct, ne vaudrait-il pas mieux parler d'une fabuleuse pression sociale pour que la femme ne puisse s'accomplir que dans la maternité? »
« L'aphorisme ? Du feu sans flamme, on comprend que personne ne veuille s'y réchauffer. »
« L'aphorisme? Un feu sans flamme. On comprend que personne ne veuille s'y réchauffer. »