« Dans nos pays monogames, se marier c'est diviser ses droits de moitié et doubler ses devoirs. »
« La première précaution de l'homme adultère est d'offrir le même parfum à sa femme qu'à sa maîtresse. »
« L'imagination, c'est cette partie décevante dans l'homme, cette maîtresse d'erreur et de fausseté, et d'autant plus fourbe qu'elle ne l'est pas toujours. »
« Tout le monde fait l'idiot au moins une fois dans la vie. Mais se marier, c'est le faire toute la vie. »
« Divorcer parce qu'on n'est plus amoureuse est aussi stupide que de se marier parce qu'on l'est. »
« Il vaut mieux se marier que de brûler. »
« Il est assez facile de trouver une maîtresse, et bien aisé de conserver un ami ; ce qui est difficile, c'est de trouver un ami et de conserver une maîtresse. »
« C'est une immense preuve d'infériorité chez un homme que de ne pas savoir faire de sa femme sa maîtresse. »
« Se marier, c'est prendre femme. Mais la femme de qui ? »
« La pauvreté est une maîtresse dispendieuse. »
« Se marier dans sa jeunesse, c'est comme faire l'acquisition d'un poêle en plein été ; ce n'est qu'en hiver qu'on sait s'il chauffe ou s'il fume. »
« Se marier c'est le destin,Se pendre aussi. »
« Les hommes de lettres ont fait le tour des idées, et ils finissent par se marier avec de pauvres petits bouts de femmes laides. »
« Un homme sait dépenser un million de pièces de monnaie pour marier sa fille, il ne sait pas en dépenser cent mille pour l'élever. »