« Connaître l'humain, c'est d'abord le situer dans l'univers, non l'en retrancher. »
« La guerre est beaucoup plus qu'agression et conquête, c'est une suspension des contrôles de "civilisation", un déchaînement ubrique des forces de destruction. »
« La pauvreté, faut pas que ça empêche les gens d'avoir l'air propre. »
« Pousser la raison à ses limites aboutit au délire. »
« La jeunesse. C'est le pire des temps à vivre. On rêve de grandes choses, on veut, on veut ! Puis on se rend compte que pour vouloir, faudrait pouvoir, et qu'on peut justement rien. »
« L'expérience des autres ne compte pas ! La réponse est en toi ! Il faut apprendre à vivre par soi-même ! »
« Le bon conseil que l'on donne à l'oreille d'un ami n'est-il pas plus efficace, bien souvent, qu'un discours étayé de directives que l'on se garde bien de suivre soi-même. »
« Plus puissante est l'intelligence générale, plus grande est sa faculté de traiter des problèmes spéciaux. »
« ... Société et individualité ne sont pas deux réalités séparées s'ajustant l'une à l'autre, mais il y a un ambi-système où complémentairement et contradictoirement individu et société sont constitutifs l'un de l'autre tout en se parasitant l'un l'autre. »
« En amour, il ne s'agit pas d'aimer mais de préférer. »
« Si tous les ménages qui sont malheureux avaient une clochette au cou on ne s'entendrait pas parler. »
« ... Le mythe humaniste de l'homme sur-naturel s'est reconstitué au cœur même de l'anthropologie, et l'opposition nature/culture a pris forme de paradigme, c'est-à-dire de modèle conceptuel commandant tous ses discours. »
« Le tourbillon destructeur de l'histoire, en balayant à tous vents les cultures en miettes, disperse aussi des spores. »
« Le bonheur est dans la possession des êtres ou des choses que l'on aime. On doit vivre pour réaliser le bonheur de ces êtres. »