« Ne charge pas tes épaules d'un fardeau qui excède tes forces. »
« Il faut être toujours ivre. Pour ne pas sentir l'horrible fardeau du temps qui brise vos épaules, il faut s'enivrer sans trêve. De vin, de poésie ou de vertu, à votre guise. Mais enivrez-vous ! »
« La charge que soutiennent nos épaules doit être moins lourde que facile à porter. »
« L'amour c'est comme un papillon, il est hors de portée quand on le chasse ; mais si on le laisse tranquille, il peut très bien venir se poser sur notre épaule. »
« En ce temps-là, la vieillesse était une dignité ; aujourd'hui, elle est une charge. »
« Ah, vous autres, hommes faibles et merveilleux qui mettez tant de grâce à vous retirer du jeu ! Il faut qu'une main, posée sur votre épaule, vous pousse vers la vie... »
« Demain est souvent le jour le plus chargé de la semaine. »
« Il est bon de noter combien la charge affective des mots : bien-être, joie, plaisir est différente. Le bien-être est acceptable, la joie est noble, le plaisir est suspect. »
« Le poète est vraiment voleur de feu. Il est chargé de l'humanité, des animaux même ; il devra faire sentir, palper, écouter ses inventions. »
« L'avare est un cheval chargé de vin et qui boit de l'eau en chemin. »
« Les femmes éprouvent de l'attirance pour les hommes qui se féminisent. Je peux poser ma tête sur l'épaule d'une femme et lui demander de me rassurer. »
« Le théâtre a charge de représenter les mouvements de l'âme, de l'esprit, du monde, de l'histoire. »
« L'abus de biens et de consommation est un fardeau qui rétrécit l'existence. L'absence d'encombrement procure de l'espace pour penser, et sans doute même pour comprendre. »
« Il m'était plus facile de penser un monde sans créateur qu'un créateur chargé de toutes les contradictions du monde. »