« Pleurer sa mère, c'est pleurer son enfance. J'ai été un enfant, je ne le suis plus et je n'en reviens pas. »
« Quand tu seras le maître des autres hommes, souviens-toi que tu as été faible, pauvre et souffrant comme eux. »
« En souvenir de toi tendrement je fredonne - Cette chanson d'amour dont le refrain si doux - Nous parlait du Printemps, à présent c'est l'Automne - Je me souviens de toi, je me souviens de nous... »
« On a beaucoup ri d'un télégramme que Mauriac a reçu peu de jours après la mort de Gide et ainsi rédigé: «Il n'y a pas d'enfer. Tu peux te dissiper. Préviens Claudel. (Signé) André Gide.» »
« Quelles que soient les révoltes, elles ne deviendront fécondes que si tu parviens à les canaliser. »
« Son nom? Je me souviens qu'il est doux et sonore - Comme ceux des aimés que la Vie exila. - Son regard est pareil au regard des statues, - Et, pour sa voix lointaine, et calme, et grave, elle a - L'inflexion des voix chères qui se sont tues. »
« Souviens-toi d'aimer ! »
« Je me souviens qu'après la bataille de Zorndorf, où Votre Majesté avait assommé 30000 Russes, un grand Danois me disait froidement: Il n'y a pas de mal, il est si aisé à Dieu de refaire des Russes. »
« Que voudriez-vous faire graver sur votre tombe ?Quelque chose de court et de simple.Quoi ?Je reviens dans cinq minutes. »
« Cinna, tu t'en souviens, et veux m'assassiner. »
« Je ne suis pas bête pour deux sous. Mais pour un million, je deviens complètement idiot. »
« En cherchant Dieu je le crée ; et en le créant, je deviens ce qu'il est. »
« Souviens-toi que ce bel âge n'est qu'une fleur qui sera presque aussitôt séchée qu'éclose. »
« Souviens-toi toujours que même s'il est partout dans les fers, l'homme est né libre. »