« A l'éternelle triple question toujours demeurée sans réponse: «Qui sommes-nous? D'où venons-nous? Où allons-nous?» je réponds: «En ce qui me concerne personnellement, je suis moi, je viens de chez moi et j'y retourne». »
« Mais est-ce très grave, souffrir? Je viens à en douter. »
« Après la panse viens la danse. »
« Viens, suis-moi, va combattre et montrer à ton roi - Que ce qu'il perd au comte, il le retrouve en toi. »
« Un "viens !" vaut mieux que deux "tu m'auras !" »
« Viens vite. L'éternité est faite de secondes. »
« J'ai cueilli ce brin de bruyère - L'automne est morte souviens-t'en - Nous ne nous verrons plus sur terre - Odeur du temps brin de bruyère - Et souviens-toi que je t'attends. - Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile. »
« Souviens-toi qu'au moment de ta naissance tout le monde était dans la joie et toi dans les pleurs. Vis de manière qu'au moment de ta mort, tout le monde soit dans les pleurs et toi dans la joie. »
« Tu dois devenir l'homme que tu es. Fais ce que toi seul peux faire. Deviens sans cesse celui que tu es, sois le maître et le sculpteur de toi-même. »
« Ne te réjouis pas si l'amitié t'autorise à dire des paroles désagréables à tes amis proches. Plus tu deviens proche de quelqu'un, plus le tact et la courtoisie sont nécessaires. »
« Souviens-toi que tu es comme un acteur dans le rôle que l'auteur t'a confié : court, s'il est court ; long, s'il est long. Il dépend de toi de bien jouer ton rôle, mais non de le choisir. »
« Tu me dis, j'oublie.Tu m'enseignes, je me souviens.Tu m'impliques, j'apprends. »
« Je jette avec grâce mon feutre, - Je fais lentement l'abandon - Du grand manteau qui me calfeutre, - Et je tire mon espadon; - Elégant comme Céladon, - Agile comme Scaramouche, - Je vous préviens, cher Mirmydon, - Qu'à la fin de l'envoi je touche! »
« - Bougez pas!... Les mains sur la table! Je vous préviens qu'on a la puissance de feu d'un croiseur, et des flingues de concours. - - Si ces messieurs veulent bien me les confier... »