« Achetez la presse, et vous serez maîtres de l'opinion, c'est-à-dire les maîtres du pays. »
« Dès qu'on parle une langue étrangère, les expressions du visage, des mains, le langage du corps changent. On est déjà quelqu'un d'autre. »
« Les querelles idéologiques sont quelquefois moins sérieuses que les luttes d'intérêt. »
« La solitude est comme le feu : on s'approche et l'on se réchauffe ; on s'approche un peu plus et l'on se brûle. »
« En amour, rien ne remplace l'insouciance. »
« Rien ne dure toujours, nous sommes voués à la nouveauté. »
« Quand on est bien dans sa peau, voyager, c'est être ailleurs, ce n'est plus être loin. »
« Les critiques littéraires sont les cactus qui vivent de leurs piquants parmi les vautours qui vivent de leurs plumes. »
« Le cholestérol, ça ressemble aux westerns : il y a un bon et un méchant. »
« La création n'avait d'autre utilité, d'autre vocation que de dire la liberté intime, profonde, de l'être humain, par-delà tout ce qui tend à la réduire, à la détruire même. »
« Mon cœur, mon tout, ma lumière, - Vivons ensemble, vivons, - Et suivons - Les doux sentiers de la jeunesse. »
« En amitié comme en amour, les illusions jouent parfois un rôle central. »
« Il n'y a que les causes perdues qui méritent qu'on les défende, que les questions sans réponse qu'il est nécessaire de poser. »
« "L'adulte" est mort. La cruauté des cours de récré règne aujourd'hui dans les bureaux feutrés des multinationales. »