« Combien de mois, combien de vies faut-il pour écrire une phrase qui égale en puissance la beauté des choses? »
« Tous les matins, j'apporte à ma femme le café au lit. Elle n'a plus qu'à le moudre. »
« L'autre jour, au café, je commande un demi. J'en bois la moitié. Il ne m'en restait plus. »
« Que peut changer un mot ? Une phrase ? Une lettre ? On ne devrait pas écrire. Le décalage est trop grand entre le moment où on écrit une lettre et celui où elle est lue. »
« Ce n'est pas parce que l'on sort une grande phrase qu'on est un grand homme. »
« Par le thé, l'Orient pénètre dans les salons bourgeois ; par le café, il pénètre dans les cerveaux. »
« Peu m'importe qu'il y ait du sucre aux Indes, de la porcelaine à la Chine, du café en Arabie ; il faut qu'on me l'apporte. »
« L'humour est comme le café : meilleur très noir. »
« Le café est un breuvage qui fait dormir quand on n'en prend pas. »
« La maîtresse de la maison doit toujours s'assurer que le café est excellent ; et le maître, que les liqueurs sont de premier choix. »
« Le bonheur, ça consiste à vivre penché au-dessus de deux bols à café, sur l'un on a écrit «toi», sur l'autre «moi» - et le monde peut crever la gueule ouverte. »
« Tout passe en ce monde, sauf le café dans les mauvais filtres. »
« Je juge un restaurant par son pain et son café. »
« Quand on a oublié d'acheter du sucre, on peut parfaitement sucrer son café avec une betterave, mais c'est plus long. »