« La guerre est comme la fièvre typhoïde ; il faut la fuir, mais si on l'attrape, il faut lutter. »
« Le propre de la sagesse et de la vertu est de gouverner bien ; le propre de l'injustice et de l'ignorance est de gouverner mal. »
« La multiplicité des lois flatte dans les législateurs deux penchants naturels, le besoin d'agir et le plaisir de se croire nécessaires. »
« L'opinion est quelque chose d'intermédiaire entre la connaissance et l'ignorance. »
« L'on perd bientôt sa route à chercher trop de voies. »
« L'une des chaînes les plus lourdes à porter est celle des biens matériels. »
« Si tu veux contrôler le peuple, commence par contrôler sa musique. »
« Les yeux de l'esprit ne commencent à être perçants que quand ceux du corps commencent à baisser. »
« Dormir ! Enfin c'est échapper à tout ce qui vous entoure. »
« Ce n'est pas parce qu'on craint de la commettre, mais c'est parce qu'on craint de la subir que l'on blâme l'injustice. »
« La perversion de la cité commence par la fraude des mots. »
« Chacun, parce qu'il pense, est seul responsable de la sagesse ou de la folie de sa vie, c'est-à-dire de sa destinée. »
« L'art de l'acteur, c'est la création et sa réitération. »
« L'un des préjudices d'avoir refusé de prendre part à la vie politique est que vous finissez par être gouverné par vos subordonnés. »