« Dire que j'ai gâché des années de ma vie, que j'ai voulu mourir (...) pour une femme qui ne me plaisait pas, qui n'était pas mon genre. »
« Les maximes les plus profondes sont celles où la pensée semble la plus indépendante des mots et de leur aménagement. »
« Cela fait souvent de la peine de penser. »
« A un certain âge de la vie, si votre maison ne se peuple point d'enfants, elle se remplit de manies et de vices. »
« A partir d'un certain âge, nos amours, nos maîtresses sont filles de notre angoisse. »
« Ce ne sont pas les êtres qui existent réellement, mais les idées. »
« Tâchons de trouver ce nom caractéristique d'un chacun, et qu'il porte gravé moitié au front, moitié au-dedans du cœur. »
« Ceux qui aiment et ceux qui ont du plaisir ne sont pas les mêmes. »
« Trop de libertinage dans la jeunesse dessèche le cœur, et trop de continence engorge l'esprit. »
« On ne supporte pas toujours bien les larmes qu'on fait verser. »
« La permanence et la durée ne sont promises à rien, pas même à la douleur. »
« Puisqu'il faut avoir des ennemis, tâchons d'en avoir qui nous fassent honneur. »
« Réduire l'art à une question de "forme", c'est le rapetisser et le rétrécir outre mesure. »
« Mûrir ! mûrir ! - on durcit à de certaines places, on pourrit à d'autres ; on ne mûrit pas. »