« Combien de filles à qui une grande beauté n'a jamais servi qu'à leur faire espérer une grande fortune ! »
« Ô envie, peste de la vie, prison des cœurs, ver immortel, chancre de l'âme et enfer des vivants : où est-ce que tu conduis les âmes qui se laissent emporter à ta rage ? »
« Quand les roses fleurissaient, sortaient les filles - On voyait dans tous les jardins danser les jupons - Puis les roses se fanaient, rentraient les filles - Pour passer dans leurs doux écrins le temps des flocons. »
« On parle toujours du boulevard des Filles du Calvaire, mais jamais du calvaire des filles du boulevard. »
« La phare illumine les mers.Le fard enlumine les filles. »
« Celui qui désire, mais n'agit point, engendre la peste. »
« Dès qu'elles ont l'âge de raison, les filles déraisonnent en rêvant d'amour. »
« Les filles de joie ont pour mère la tristesse. »
« Les belles-mères ne se souviennent jamais qu'elles ont été des belles-filles. »
« Quand les filles ont les yeux cernés, c'est que la place est prise. »
« Combien de jeunes filles, peut-être, auraient besoin de perdre leur innocence pour conserver leur sagesse. »
« Les filles sont irréelles, elles se promènent comme des anges sur l'arc-en-ciel de nos rêves. »
« Les bourgeois, par une vanité ridicule, font de leurs filles un fumier pour les terres des gens de qualité. »
« La danse est pour les jeunes filles une précieuse initiation à cet art plus subtil : pressentir ce qu'un homme va faire. »