« Les limites de mon langage signifient les limites de mon propre monde. »
« Il y a deux façons de ne plus avoir envie de rien : avoir ce qu'on voulait ou être découragé parce qu'on ne l'a pas. »
« Il y a des enterrements de première classe comme si on allait au Paradis par la chemin de fer. »
« Dans le passé, pour vivre dans des sociétés d'une complexité croissante, il nous fallait accroître notre humanité, maintenant, il nous suffit d'accroître la technologie. »
« Se haïr... Il ne fallait pas être le plus grand savant pour connaître que c'est la pire souffrance de l'homme. »
« Il y a un âge où le bruit plaît plus que la musique, et l'acidité des fruits verts plus que la saveur des fruits mûrs. »
« S'il fallait tenir compte des services rendus à la science, la grenouille occuperait la première place. »
« Avant, l'argent coulait à flot, maintenant j'éponge mes dettes. »
« Aujourd'hui, on prend un parapluie parce que la télé a dit qu'il allait pleuvoir. Autrefois, on aurait regardé le ciel. »
« Seuls les mots de trop signifient quelque chose. »
« La conversation générale la plus bruyante tombe toujours au moment précis où l'on allait profiter du brouhaha pour dire à sa voisine quelque chose de confidentiel. »
« Il fallait être Anglais pour inventer le rugby. Qui d'autre aurait pu penser à un ballon ovale ? »
« Aimer sans espoir, à blanc, ce serait parfait s'il ne fallait pas compter avec les intempéries de sa cervelle ! »
« On n'est jamais plus faible qu'au lendemain d'une victoire durement acquise, on est prêt à céder sur tous les points lorsqu'on a gagné ce qui nous semblait important. »