« Souviens-toi de te méfier. »
« J'ai cueilli ce brin de bruyère - L'automne est morte souviens-t'en - Nous ne nous verrons plus sur terre - Odeur du temps brin de bruyère - Et souviens-toi que je t'attends. - Il y a un poème à faire sur l'oiseau qui n'a qu'une aile. »
« Souviens-toi qu'au moment de ta naissance tout le monde était dans la joie et toi dans les pleurs. Vis de manière qu'au moment de ta mort, tout le monde soit dans les pleurs et toi dans la joie. »
« Il est bon de traiter l'amitié comme les vins et de se méfier des mélanges. »
« Se méfier des penseurs dont l'esprit ne fonctionne qu'à partir d'une citation. »
« Souviens-toi que tu es comme un acteur dans le rôle que l'auteur t'a confié : court, s'il est court ; long, s'il est long. Il dépend de toi de bien jouer ton rôle, mais non de le choisir. »
« Tu me dis, j'oublie.Tu m'enseignes, je me souviens.Tu m'impliques, j'apprends. »
« Notre premier baiser, ne t'en souviens-tu pas, - Quand je te vis si pâle au toucher de mon aile, - Et que, les yeux en pleurs, tu tombas dans mes bras? »
« Souviens-toi que le Temps est un joueur avide - Qui gagne sans tricher, à tout coup! c'est la loi, - Le jour décroît; la nuit augmente; souviens-toi! - La gouffre a toujours soif; la clepsydre se vide. »
« J'ai une mauvaise mémoire des noms, mais je me souviens rarement d'un visage. »
« Il faut se méfier des grandes gueules, bien sûr, et, par conséquent, se méfier aussi bien du préjugé contre les grandes gueules. »
« Il faut se méfier du patriotisme car les instincts meurtriers dorment au cœur de chaque nation. »
« ... Je me souviens de ce bonheur-désordre sur ta table. »
« Souviens-toi qu'un poisson mort peut flotter en suivant le courant, mais seul un poisson vivant peut nager en le remontant. »