« L'homme du siècle demande des lois et des institutions de convalescence, qui le brident sans le briser, qui le conduisent sans l'écraser. »
« Ah ! Les petites maladies de l'enfance qui vous laissent quelques jours de convalescence, à lire au lit des Bugs Bunny ! Hélas, quand on vieillit, les plaisirs de la maladie deviennent rares. »
« Le peuple chinois veut plus de liberté pour s'exprimer, pour prier sans contrôle de l'Etat et pour imprimer des bibles et d'autres textes sacrés sans crainte de châtiment. »
« Interpréter consiste toujours à mettre en équivalence deux textes... : celui de l'auteur, celui de l'interprète. »
« Convalescence: état de béatitude fort enviable, pour peu qu'il ne soit précédé d'aucune maladie. »
« ... Toute littérature est traduction. Et traduction à son tour, la lecture que l'on en fait... D'où cet autre sentiment selon lequel on n'en aura jamais fini avec les textes que l'on aime, car ils rebondissent d'interprétation en interprétation... »
« Les textes saints se sont trompés: il est bon - il est même excellent - que l'homme soit seul, mais il n'est pas assez sage pour chercher son vrai bonheur. »
« Une convalescence est comme un fruit qui mûrit... »
« Les beaux textes valent mieux que les beaux chèques. »
« Toujours plus nombreux, les textes de loi sont aussi plus bavards, au risque d'en devenir inconsistants. »
« Il y a des médecins si ennuyeux qu'ils vous gâtent une convalescence. »
« Le deuil est une convalescence. Le repos de l'être absent devient notre propre repos. Il y a de la contagion dans la mort. »
« Une femme qui a un enfant, c'est neuf mois de maladie et le reste de sa vie une convalescence. »
« ... Si éclairants soient les grands textes, ils donnent moins de lumière que les premiers flocons de neige. »