« Est-ce que, lorsqu'on sait que l'on va partir, on acquiert une lucidité qu'on n'a pas eue auparavant ? »
« Le grand avantage des provinciaux, c'est qu'après avoir admiré Paris, ils peuvent le quitter. »
« Celui qui observe en marchant dans les rues, verra, je crois, les visages les plus gais dans les voitures de deuil. »
« C'est le degré de culture et de prévoyance plus que le degré d'aisance qui paraît régler la restriction des naissances. »
« Qu'est-ce qui, dans les préceptes de la science, empêche les savants de faire le mal ? »
« On ne saurait aller trop loin dans la connaissance de l'homme. »
« L'eau, si on sait l'entendre, si on en apprend la langue, ouvrira toute la connaissance des êtres et des choses. »
« Le savant dont les moeurs sont déréglées ressemble à un aveugle qui porte un flambeau dont il éclaire les autres, sans pouvoir s'éclairer lui-même. »
« C'est surtout dans la solitude qu'on sent l'avantage de vivre avec quelqu'un qui sait penser. »
« Vouloir augmenter ses connaissances, c'est légèreté. »
« Ce qui fait le prix de la science, de la connaissance abstraite, c'est qu'elle est communicable. »
« La science est une chose trop importante pour être laissée entre les mains des seuls savants. »
« Quarante ans, l'âge des belles sciences, de la connaissance des gestes. »
« Une raison futile diminue le poids des bonnes raisons qu'on avait données auparavant. »